À la rencontre de Thomas Giraud, Communication & Project manager chez Fantassin
Doyen de l’équipe (malgré des cheveux toujours bien implantés), Thomas est arrivé en 2019 avec une mission hybride : s’occuper de la communication et des contenus siglés FTS, et du suivi des projets. En gros, écrire des trucs et parler avec nos clients.
Le genre de choses auxquelles sa formation à Sciences-Po Lyon l’a préparé, et qui ont aussi alimenté ses cours de philosophie et sciences humaines appliquées au(x) monde(s) numérique(s) !
Avant de commencer ce portrait, petite mise en ambiance avec la playlist spéciale FTS de Thomas.
qui est Thomas ?
Son super-pouvoir
Le dé-rage-ment : malgré un caractère tonique, Thomas a la faculté extra-sensorielle de transformer la rage des associés de FTS en messages positifs et argumentés. Une performance !
Son pas-super-pouvoir
La parole soporifique : vous parlez d’un truc sans importance. Une conversation légère de fin de journée, pour reprendre de l’air. Soudainement, Thomas part dans une session philosophico-littéraire à propos d’un petit truc à la con que vous avez pu dire. Pouf, vous dormez déjà, mais vous luttez pour la forme.
Son coup spécial
Le high-kick façon Bruce Lee : un Thomas qui réfléchit intensément, c’est un Thomas qui se lève et pose des high-kicks (enfin, des middle-kicks depuis qu’il a arrêté l’entraînement), dans le vide au milieu du bureau. On vous rassure, il nous épargne l’audio. Également, aucun blessé n’est à déplorer jusque là.
Pourquoi il est précieux
Thomas, c’est la voix qui porte la bonne parole Fantassin. Parce que si on vous lâchait les geeks sans aucun filtre ou sans retraduction de ce qu’ils baragouinent, vous pourriez sans doute penser qu’on tient un zoo.
The big achievement
Trois jours après être arrivé chez FTS, Thomas nous a pété un marathon de Paris aux couleurs de la boîte. Bon, à l’arrivée, il lui a fallu 4h tout pile pour passer la ligne d’arrivée, il n’avait pas l’air frais, et ses cheveux avaient perdu leur volume habituel… mais les jambes ont tenu !
Du noir et du blanc, c’est le moodboard de Thomas
Un dernier mot l’artiste ?
Une citation isolée, c’est toujours réducteur.
Particulièrement quand on parle de nos métiers, on a besoin de contexte, de détails, d’explications, de pédagogie.
C’est aussi pour ça que parfois, nos articles sont… longs.
Thomas, qui fait son mea culpa
Et c’est un peu de ma faute. Mais c’est pour la bonne cause !
Suivez Thomas sur…